Test Blu-ray : Tuez Charley Varrick !

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Alors que le cinéaste a déjà largement contribué à façonner le polar moderne avec des œuvres majeures telles que La ronde du crime (1958), A bout portant (1964) et bien sûr L’inspecteur Harry (1971), Don Siegel s’attaque en 1973 avec Tuez Charley Varrick ! à l’un des plus gros morceaux de sa riche filmographie. Délaissant pour un temps la « grande ville » et son complice Clint Eastwood, le film met en scène Walter Matthau aux prises à la fois avec la police et la mafia suite à un braquage qui l’a amené à dérober 750.000 dollars d’argent « sale ».

Critique : Un vent de liberté

Un vent de liberté nous permet de faire connaissance avec Behnam Behzadi, un réalisateur de grand talent qui, avec l'aide d'une distribution très solide, sait apporter beaucoup de finesse dans sa dénonciation de la condition féminine dans son pays.

Critique : Une Femme douce

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Alors que nous vivons actuellement une période dont le pessimisme n’a d’égal que le cynisme ambiant, voir Dostoïevski être adapté dans le cadre d’un film réalisé par un ukrainien est révélateur de notre époque contemporaine. Dans sa manière d’ausculter la société tsariste, et d’analyser avec une acuité formidable la psyché de l’âme slave, l’écrivain russe a su retranscrire mieux que quiconque une certaine forme de déliquescence sociétale de l’époque, celle d’avant les révolutions d’octobre 1917. D’aucuns y ont vu les prodromes de la sédition populaire amenant la prise de pouvoir par les Bolcheviks. Le nouveau film de Sergei Loznitsa, qui concourait en sélection officielle au dernier festival de Cannes, s’inscrit dans le courant du cinéma russe contemporain (bien que le cinéaste soit d’origine ukrainienne), à forte connotation sociale. Soit une cinématographie se faisant le reflet d’un pays miné par la corruption, le cynisme et une violence inhérente à tout régime autoritaire replié sur sa grandeur de jadis. Un siècle sépare l’événement historique précité avec la sortie de ce long-métrage, mais au-delà de cette distance temporelle symbolique, Loznitsa, à l’instar de Dostïevski, bien qu’ils différent dans leurs manières de s’exprimer, se rejoignent sur cette façon à révéler les tares et dysfonctionnement de la société russe.

Critique : Kóblic

Avec Kóblic, Sebastián Borensztein apporte la preuve qu'il peut se montrer tout aussi à l'aise dans le drame que dans la comédie douce-amère.

Critique : Entre deux rives

Kim Ki-duk dresse avec lucidité un portait très sombre de la division entre les deux Corées au travers du parcours kafkaïen d'un homme ordinaire pris dans les filets d'un de ces états avant de l'être dans les filets de l'autre.

Cannes 70 : la Playlist de la 70e édition

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70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...

Test Blu-ray : Albert Pyun – Nemesis + Mean guns

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En 35 ans de carrière et plus de 50 films, Albert Pyun n’a jamais réellement connu d’égards de la part des médias, mais débarque enfin en France avec son premier Blu-ray, contenant Nemesis et Mean Guns !

Cannes 70 : notre dossier pour célébrer l’anniversaire du plus grand festival de cinéma

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Livre : Au travail avec Jean Eustache

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Jean Eustache occupe une place à part au sein du cinéma français. Auréolé d’un statut légendaire depuis la projection de son film monstre, La Maman et la Putain, au festival de Cannes 1973, l’œuvre d’Eustache est restée confidentielle pour d’obscures raisons de droit limitant ainsi la diffusion de ses films parmi la communauté de spectateurs.

Critique : Citoyen d’honneur

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Quelques mois après "Les nouveaux sauvages", le cinéma argentin prouve de nouveau avec "Citoyen d'honneur" son aptitude à reprendre le flambeau de la comédie italienne des années 60-70, celle où brillaient Dino Risi, Mario Monicelli, Luigi Commencini et Ettore Scola, une comédie dans laquelle le cynisme le dispute à la tendresse, la mesquinerie à la générosité.

Critique : Brimstone

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Dans un cinéma contemporain de plus en plus uniformisé, où les propositions de cinéma un peu à contre courant de ce qui fonctionne auprès du grand public, ou du moins de ce que les distributeurs pensent que le grand public veut voir, ont de plus en plus de mal à exister en dans les salles, se retrouvant la plupart du temps reléguées à la VOD ou au Direct to DVD, voir débarquer un Western sans énorme tête d’affiche, qui plus est une co-production essentiellement européenne, réalisée par un Hollandais dont aucun film n’était jusque là arrivé jusque chez nous, et où l’action n’est pas vraiment la préoccupation principale de ses instigateurs, relève de l’exception qui confirme la règle. On ne va bien évidemment pas s’en plaindre, surtout que le résultat, surprenant à plus d’un titre, a plus d’un atout à faire valoir.

César 2017 : le palmarès en direct live !

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Ouverture enlevée avec en prologue Jérôme Commandeur qui s'annonce comme un bon maître de cérémonie (au minimum). D'abord avec le prologue sur un mystérieux...

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Screen Actors Guild Awards 2025 : les nominations cinéma

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Depuis deux jours, l'heure n'est plus tellement à la fête du côté de Los Angeles. Mardi, un feu de forêt s'y était déclaré dans le quartier huppé de Pacific Palisades, décimant depuis par dizaines les villas et autres demeures des riches.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : 1984

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Écrivain engagé et témoin de son époque, George Orwell a principalement marqué les mémoires grâce à deux œuvres : « La Ferme des animaux » et « 1984 », roman dans lequel il créait le concept de « Big Brother », depuis passé dans le langage courant.

Les sorties du 8 janvier 2025

Les lendemains des fêtes prennent une apparence de peau de chagrin en ce deuxième mercredi de 2025. Après un départ sur les chapeaux de roues la semaine passée, le retour à la grisaille routinière en ce début d'année se traduit en effet par un nombre très limité de sorties.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : I Spit on Your Grave – Édition Limitée...

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Sorti en France en 1981 sous le titre Œil pour œil, ainsi qu'en Belgique sous le titre La Vengeance de la femme violée, le film de Meir Zarchi s'est surtout fait connaître par la suite sous les titres anglais I Spit on Your Grave et Day of the Woman.