Nicolas Santal
Cannes 70 : la nouvelle vague coréenne
70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...
Critique : Brian de Palma
Il en aura parcouru des distances, ce documentaire, avant d'arriver chez nous. Présenté en septembre 2015 à Venise, il aura enchaîné les festivals, des USA à la Corée du Sud, en passant par Tel Aviv, Toronto, Rio de Janeiro ou encore Vienne. Enfin, il a récemment été diffusé sur Arte, et est disponible en VOD sur le site de la chaîne.
Cannes 70 : quand la compétition s’anime
70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...
Revue de presse cinéma : Avril 2017
Des jeunes acteurs français en couverture des Cahiers du cinéma et dans les pages de Studio Cine Live aux youtubeurs chroniqués dans SoFilm, en passant par les critiques-twitter...
Cannes 70 : quand les documentaires valent de l’or
70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...
Critique : Live by night
La dernière fois que Ben Affleck était passé derrière la caméra, c'était il y a quatre ans, avec Argo qui avait triomphé aux Oscar. Son troisième film en tant que réalisateur n'a été que le début d'un adoubement du tout Hollywood, puisque ont suivi un Terrence Mallick (A la merveille, la même année) et surtout un David Fincher (Gone Girl, 2014) dans lequel sa prestation fut quasi-unanimement saluée. En ce début d'année, il est revenu en tant que réalisateur-scénariste-producteur et acteur principal d'une adaptation de Dennis Lehane, auteur dont il avait adapté Gone baby gone il y a dix ans. Qu'en est-il du film en lui-même ?
Cannes 70 : Nicolas Winding Refn, de Copenhague à la Croisette
70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...
Revue de presse cinéma : Mars 2017
Mars est devenu depuis quelques années le mois pendant lequel commence la saison des blockbusters, un rendez-vous pourtant historiquement estival. Parler de saison de...
Critique : Silence
Scorsese n'a jamais eu besoin de mettre en scène le Christ pour exprimer ses obsessions bibliques : toute la filmographie du mettre en est imbibée. Rappelons qu'avant de s'affirmer derrière la caméra, il a tendance à dire qu'il ne voyait son avenir qu'en tant que prêtre ou gangster ... Et cette fois encore, il aborde directement sa religion en portant à l'écran un livre qu'il projetait d'adapter depuis des années.
Revue de presse cinéma – Février 2017
Rythme bimestriel oblige, ce mois-ci pas de Premiere, 7eme Obsession ni de Studio Cine-Live. Cependant, les revues mensuelles qui avaient fait leur pause de janvier reviennent.
SoFilm n°47
On peut...
Critique : Un jour dans la vie de Billy Lynn
Si vous voulez voir le nouveau film d'Ang Lee tel qu'il a été tourné et tel qu'il devrait être vu, il vous faudra aller soit jusqu'aux Etats-Unis, soit jusqu'en Chine. En effet, seuls cinq cinémas projettent Un jour dans la vie de Billy Lynn à la fois en 3D, 4k et surtout 120 images par secondes. En France, il faut se résigner à un format classique, 2D et 24 images par seconde, et encore faut-il avoir accès à une des courageuses 22 salles qui le diffuse !
Critique : Born to be blue
Miles Davis et Chet Baker : deux véritables légendes du jazz, deux trompettistes qui ont disparu il y a près de trente ans. Et deux films leur étant consacré sont sortis chez nous en janvier, près d'un an après leur distribution aux Etats-Unis. En effet, il y a deux semaines sortait en France, dans une totale indifférence, et directement en vidéo à la demande, Miles Ahead, biopic de Don Cheadle consacré à Miles Davis. Et mi-janvier est sorti dans une relative indifférence aussi, mais au moins sur quelques écrans de cinéma, Born to be blue, un film consacré à Chet Baker. Ainsi les musiciens, de jazz qui plus est, semblent être moins populaires sur grand écran que des figures politiques : Neruda a connu un beau succès, aussi bien critique que public, et Jackie (aussi de Pablo Larrain) semble partir sur les mêmes rails. Mais ici nous n'allons parler ni de Miles, ni de Pablo, ni de Jackie, mais de l'unique Chet ...