Nicolas Santal
Cannes 2017 : Good Time
Les frères Safdie, réalisateurs indépendants new-yorkais, signent avec Good Time leur quatrième long-métrage. Les précédents, peu distribués en France, avaient cependant bénéficié d'un certain succès d'estime. Leurs deux premiers films, The Pleasure of Being Robbed et Lenny and the kids avaient été sélectionnés à la Quinzaine des Réalisateurs, en 2008 et en 2009, tandis que Mad love in New York a été présenté à la Mostra de Venise il y a trois ans.
Cannes 2017 : Le jour d’après
C'est le troisième film du cinéaste coréen présenté en festival depuis le début de l'année. On the beach the night alone était ainsi présent au Festival de Berlin en janvier dernier, et La caméra de Claire en hors compétition dimanche, à Cannes. De plus est sorti en février un autre film de Hong Yourself and yours ! Que vaut donc le "dernier" (?) Hong so
Cannes 2017 : Napalm
"Mes films ne sont ni documentaires ni fictions, mais des entre-deux" explique Lanzmann avant la séance. En tout cas, Napalm n'est ni un bon documentaire, ni un bon long-métrage de fiction comme nous allons le voir, même s'il n'est pas totalement inintéressant.
Cannes 2017 : Happy end
Après deux Palmes d'Or d'affilée ( Le ruban Blanc en 2009, Amour en 2012), Michael Haneke est de retour en compétition à Cannes pour son film, Happy End. Comme dans son précédent long-métrage, il dresse le portrait de membres d'une famille bourgeoise et de ses névroses, mais ici, si on retrouve aussi Isabelle Huppert et Jean-Louis Trintignant, c'est une famille plus large qui est mise en scène.
Cannes 2017 : Le Redoutable
On se rappelle du triomphe qu'avait connu The Artist à travers le monde en 2011. Avant de raffler César, Oscar, et j'en passe, le film avait d'ailleurs été présenté à Cannes, et Jean Dujardin était reparti avec le prix d'interprétation masculine. Le film suivant d'Hazanavicius, présenté lui aussi en compétition officielle, avait connu un accueil beaucoup plus mitigé ... Cette année, le réalisateur des Oss 117 et de La classe américaine présente Le redoutable, film qui s'intéresse à Jean-Luc Godard, entre la sortie de son film La Chinoise (1967) et la fin de 1968, avec ce que cela implique au niveau du pays (les événements de mai, qui on directement touché le Festival de Cannes) mais aussi au niveau personnel, JLG s'étant marié à Anna Wiamzemsky entre temps.
Cannes 2017 : The Square
Le précédent film de Ruben Östlund, Snow therapy, avait remporté le prix du jury Un certain regard en 2014. Ici encore il explore les rapports de force entre les personnes, cette fois-ci non pas au sein d'une famille mais au sein de la société suédoise.
Cannes 2017 : Okja
Les films coréens, ou du moins beaucoup de ceux qui sont distribués en France, nous ont habitué à mettre en scène des satires sociales, surtout concernant la société coréenne elle-même. Pour rester chez Bong Joon-ho, on peut ainsi se rappeler des policiers violents de Memories of murder ou du gouvernement réprimant les manifestations à la fin de The Host ; plus récemment, Tunnel de Kim Seong-hoon (blockbuster de l'été 2016 au pays du matin calme) nous montrait à quel point la (sur)vie d'un homme pouvait se retrouver liée à l'image que voulait se donner un gouvernement et aux intérêts d'entreprises privées.
Cannes 2017 : Wonderstruck (Le musée des merveilles)
Le musée des merveilles
Etats-Unis, 2017
Titre original : Wonderstruck
Réalisateur : Todd Haynes
Scénario : Brian Selznick
Acteurs : Oakes Fegley, Julianne Moore
Distribution : Metropolitan Film Export
Durée : 1h57
Genre : Drame
Date...
Revue de presse cinéma : Mai 2017, spécial Cannes
Comme chaque année au mois de mai, le monde du cinéma se tourne vers le sud de la France pendant une dizaine de jour....
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