Marina

Épisode peu passionnant, l’un des rares, ce cinquième chapitre se focalise sur beaucoup -trop- d’histoires de manière déséquilibrée créant ainsi une impression brouillonne surprenante pour cette série de qualité. Le retour bâclé du vrai/faux cousin et la situation -au demeurant triste- de l’insipide Ethel entérinent le peu d’intérêt suscité par cet épisode.

Porté presque exclusivement par Michelle Dockery, cet épisode de mi-saison particulièrement lourd en émotions nous attire avec brio dans une tornade de sentiments redoutables -frustration, peine, haine- sans jamais nous donner l’occasion de nous ennuyer. Une réussite.

rompé par sa femme, Antoine quitte le foyer et va s'installer chez Léo, son ami d'enfance. Léo, et sa femme Léa, vont l'aider à surmonter cette épreuve. Le plus dur pour lui, c'est le manque de ses trois enfants. Le fameux week-end sur deux qui fait de vous un papa du dimanche, un peu amateur, comme l'est un pêcheur ou un conducteur du dimanche.

Ce treizième épisode de Castle nous offre 42mn irrégulières où l’enquête de la semaine n’est finalement qu’un prétexte pour disséminer ça et là des scènes comiques ou touchantes. Résulte un désintérêt logique quant à la découverte du meurtrier à quelques pas de l’ennui. Heureusement les moments comiques portés par Jon Huertas et l’excellente Hilarie Burton (guest star de l’épisode) suffisent à gommer suffisamment de défauts pour amener cet épisode à un niveau tout de même moyen.

Concentré sur les histoires d’amours naissantes, retenues ou interdites, cet épisode de Downton Abbey ravira les plus sentimentaux. Pour les autres, les plans machiavéliques de Thomas et O’Brien, les phrases assassines de Violet ou le bonheur -unique- de voir Mary et Edith chanter côte-à-côte devraient plus que les enchanter.

Étrangement monté, It is what it is nous offre un épisode bien en dessous de la qualité habituelle de la série. Fort heureusement les dix dernières minutes et particulièrement la magnifique entre Adam et Haddie donne un salut certain à cette histoire juste moyenne.

Marquant la moitié de saison, Dial M for Mayor est un épisode inattendu et réussi qui relance la thèse du complot sur le meurtre de la mère de Beckett, Johanna. Les scènes de désaccords entre la détective et l’écrivain sont toujours aussi intenses grâce à l’alchimie exceptionnelle des deux protagonistes principaux. Le focus sur la capitaine Gates, annoncée à grand renforts puis laissée dans l’ombre, est, en outre, le bienvenu.

D’un niveau moyen, ce deuxième épisode de Downton Abbey déçoit. La faute à l’excellence des scénarios précédents qui laissaient présager mieux. Reste les bons mots de Maggie Smith, injustement boudée des Golden Globes, et quelques scènes de confrontation entre Cora et Isobel plutôt réussies.

Lancée en mars 2009, Castle n’a pas connu un succès immédiat. La qualité des dialogues et l’alchimie hors du commun des deux protagonistes principaux ont néanmoins permis de construire une audience de plus en plus importante. Dans sa quatrième saison, la série est devenue une valeur sûre de la chaîne. Tour d’horizon.

Diffusé pour la première fois en septembre 2010 en Grande-Bretagne, Downton Abbey a été un succès aussi immédiat qu’inattendu. Exportée depuis, elle remporte, quel que soit le pays de sa diffusion, des audiences records. Le monde se passionne pour les aventures des Crawley et de leur personnel au château de Downton. Retour sur un phénomène.

Après des débuts fastidieux, le premier épisode de Parenthood a finalement été diffusé en mars 2010. Acclamée par la critique, la série, dans sa troisième saison, n’obtient cependant pas les audiences qu’elle mérite. Focus sur une famille formidable.

« Just smile » nous offre un épisode tendre et réflectif concentré sur la fratrie Braverman. Jalousie pour les garçons, insécurité pour les filles, ce nouveau chapitre nous fait réaliser, encore et toujours, combien Parenthood est une série à ne pas manquer.