Franck Sabatini
Blood Night: The Legend of Mary Hatchet
Blood Night, The Legend of Mary Hatchet a été présenté au Festival International du Film d’Horreur de Sainte-Maxime en 2009. Le réalisateur Franck Sabatella féru du genre réussi son pari : proposer un pur slasher très sanglant et gore dans la veine assumée d’Halloween.
YellowBrickRoad
Globale :
Quand deux cinéastes et scénaristes s’associent, le résultat peut être brillant. Yellowbrickroad est dans ce cas de figure : un film d’horreur réussi...
Camp Hell
Camp Hell de l’américain Georges Vanbuskirk n’est pas un film d’horreur. Le film à l’origine s’intitule Camp Hole (le camp de l’espoir). Cette amère tromperie résulte d’une volonté marketing délibérée de capter plus largement un public par l’intrusion de rares et brèves scènes horrifiques. Camp Hell doit être requalifié comme un drame de l’adolescence américaine enrôlée dans les croyances religieuses d’extrême-droite.
The Caller
The Caller a obtenu cinq nominations au Festival International du Film Fantastique de Neuchâtel en 2011. La consécration pour le réalisateur et scénariste Matthiew Parkhill (Attraction Fatale 2003, Nick Cutter et les portes du temps). Cet excellent thriller fantastique était de fait sélectionné hors compétition au Festival de Gérardmer 2012. Un chef d’œuvre à découvrir absolument.
Choose
Ce premier long-métrage américain de Marcus Graves au petit budget a les caractéristiques d’une série B du genre horreur. Sortie dans la plus grande discrétion aux États-Unis, il est présenté au Festival de Gérardmer 2012 dans la section « extrême ». Est-il efficace et si extrême ?
Faces In The Crowd
Julien Magnat est un fervent connaisseur et contributeur du cinéma de genre horreur. Scénariste très prolifique outre atlantique (pas moins de cinquante scénarios pour des séries d’animation), il est aussi une figure du mensuel de référence L’écran Fantastique. Dix ans après Bloody Mallory, sort Faces in the Crowd en direct to dvd. Même sur petit écran, son talent saute aux yeux.
Grave Encounters
Les Vicious Brothers alias Colin Minhan et Stuart Ortiz, signent leur première réalisation avec Grave Encounters. Ce jeune duo de cinéastes qui ne cache pas leurs références (Le Projet Blair Witch ; Paranormal Activity) se fait-il un nom du premier coup ? pas si sûr.
A Horrible Way to Die
A même pas tente ans, le réalisateur nord-américain Adam Wingard a déjà la réputation d’innover le cinéma de genre horreur (Homme Sick, Pop Skull). A horrible way to die le prouve.
Délivrez-nous du mal
Une vieille dame est tuée par un routier ivre. Il masque son crime et désigne un réfugié comme coupable. Ce traumatisme pour tout un village bascule dans une explosion xénophobe et violente. Une seule famille s’oppose. Mais l’enfer et le mal viendra jusqu’à sa porte.