La 22ème édition des Œillades, le Festival du Film francophone d’Albi, s’est terminée dimanche dernier, le 25 novembre, avec l’annonce du prix du public.
© Jean-Luc Clercq-Roques Tous droits réservés
Prix du public – Long-métrage
Les Invisibles de Louis-Julien Petit, sortie française le 9 janvier 2019
Mention spéciale pour les films classés second (Meltem de Basile Doganis, sortie française le 13 mars 2019) et troisième (Les Rois mongols de Luc Picard)
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Les prix de la compétition des courts-métrages ont déjà été annoncés le jeudi 22 novembre, à la suite de la présentation de la sélection opérée par le festival.
Prix du public – Court-métrage
Un réflexe de Zulma Rouge
Prix du public des jeunes collégiens – Court-métrage
Auguste de Olivia Baum
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Et de trois pour mes visites au Festival d’Albi ! Alors que certaines habitudes s’installent forcément au fur et à mesure des séjours, dont par exemple le fait d’être reconnu par le personnel de l’Hôtel du Parc, je n’appellerais pas encore cela de la routine. Car si routine il y a, il s’agirait de la plus plaisante des répétitions imaginables. Pour avoir parcouru la France entière, voire l’étranger allemand et italien, pendant cette année de cinéma qui touchera bientôt à sa fin, je dois en effet admettre que les Œillades d’Albi comptent parmi mes escales favorites ! Pour ce sentiment d’y être bien, édition après édition, les raisons sont certes multiples, mais la principale me semble être l’esprit de convivialité qui y règne. Face aux aléas qualitatifs des films programmés – je me considère plutôt chanceux à ce niveau-là dans mes choix de séances cette fois-ci –, il existe une formidable constante dans ce festival, qui vit essentiellement grâce à l’engagement jamais à bout de souffle de Monique et Claude Martin et de leur armée de bénévoles, répondant eux aussi présents sans faille. C’est qu’une véritable communauté de festivaliers y existe, jour après jour, encouragée par l’infatigable attachée de presse et relayée par le groupe de confrères qu’elle réussit à réunir dans la province albigeoise, composé pendant mes quatre jours de présence de trois générations de journalistes à la renommée joliment complémentaire ! Bref, même avec une météo plus conforme à la saison que celle, incroyablement estivale, de l’année dernière, j’ai une fois de plus été extrêmement bien dans ce festival, qui sait transmettre à chaque instant la passion du cinéma !
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Voici la liste par ordre alphabétique des films que j’ai pu voir sur place :
Compétition des courts-métrages (critique)
Cornélius Le Meunier hurlant de Yann Le Quellec (Les Films « coup de cœur ») (critique)
Deux fils de Félix Moati (Les Avant-premières) (critique)
Girl de Lukas Dhont (Les Films « coup de cœur ») (critique)
Les Invisibles de Louis-Julien Petit (Les Avant-premières) (critique)
Qui a tué Lady Winsley ? de Hiner Saleem (Les Avant-premières) (critique)