11 Films pour Noël

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Drole de noel de scrooge

Chez Critique-film.fr on attend toujours avec impatience les mois de novembre et décembre pour pouvoir se glisser sous la couette avec des Bredele (gâteaux alsaciens ultra gras et sucrés) et regarder de bons petits films de Noël. Il nous en reste encore beaucoup à voir, mais nous en avons déjà sélectionné une bonne dizaine (nous referons peut-être une liste avant le 24 décembre). En vous souhaitant une bonne (re)découverte des films de Noël. N’oubliez pas de partager vos trouvailles !

Drole de noel de scrooge

Le Drôle de Noël de Scrooge (2009), de Robert Zemeckis

Le Drôle de Noël de Scrooge est de loin mon film de Noël favori. Zemeckis a vraiment donné un souffle nouveau aux films d’animation de fin d’année en osant mettre en avant un personnage loin de faire rêver les petits et les grands. Il y a de plus une atmosphère particulière et magique, à la fois froide et chaleureuse, créée par une mise en scène et des décors uniques. On arrose le tout d’un joli message et paix et d’amitié. Bref un film d’animation destiné à toute la famille qui se démarque des autres et qui vaut vraiment le détour.

Synopsis : Parmi tous les marchands de Londres, Ebenezer Scrooge est connu comme l’un des plus riches et des plus avares. Ce vieillard solitaire et insensible vit dans l’obsession de ses livres de comptes. Ni la mort de son associé, Marley, ni la pauvre condition de son employé, Bob Cratchit, n’ont jamais réussi à l’émouvoir.
De tous les jours de l’année, celui que Scrooge déteste le plus est Noël. L’idée de répandre joie et cadeaux va définitivement à l’encontre de tous ses principes ! Pourtant, cette année, Scrooge va vivre un Noël qu’il ne sera pas près d’oublier…
Tout commence la veille de Noël, lorsqu’en rentrant chez lui, Scrooge a d’étranges hallucinations. Le spectre de son ancien associé lui rend la plus effrayante des visites, et lui en annonce d’autres, aussi magiques que troublantes…
Scrooge se voit d’abord confronté à l’Esprit des Noëls passés, qui le replonge dans ses propres souvenirs, réveillant en lui des blessures oubliées et des regrets profondément enfouis…

Maman, j’ai raté l’avion (1990), de Chris Columbus

Inutile de le présenter, Maman, j’ai raté l’avion est l’un des films de Noël les plus connus. Allumez votre télé la veille de Noël et vous le trouverez forcément en zappant un peu.

Synopsis : La famille McCallister a decidé de passer les fêtes de Noel à Paris. Seulement Kate et Peter McCallister s’aperçoivent dans l’avion qu’il leur manque le plus jeune de leurs enfants, Kevin, âgé de 9 ans. D’abord désespéré, Kevin reprend vite les choses en main et s’organise pour vivre le mieux possible. Quand deux cambrioleurs choisissent sa maison pour commettre leurs méfaits.

Le Pôle Express (2003), de Robert Zemeckis

Un Zemeckis ne peut qu’être réussi !

Synopsis : Un jeune garçon qui se met à douter de l’existence du père Noël monte dans un train mystérieux en partance pour le pôle Nord. A mesure que le Pôle Express s’enfonce dans des contrées enchantées, l’aventure est au rendez-vous et les jeunes passagers prennent conscience de l’étendue de leurs dons.

pole express

Le Bal des vampires (1967), de Roman Polanski

Plus un film d’Halloween que de Noël, mais à voir au moins pour son univers incroyable. Vieille ferme auberge, neige à gogo, couette de lit énorme digne des dessins animés de Walt Disney et une profusion de détails excellents accompagnent un scénario et des répliques complètement déjantés.

Synopsis : Un vieux savant et son aide pourchassent, dans un sinistre château de Transylvanie, une curieuse espèce de vampires.

Croc Blanc (1991), de Randal Kleiser

Un beau petit film à ressortir du grenier avec pour intrigue principale une grande amitié entre un loup et un jeune homme.

Synopsis : Jack Conroy a hérité de son père, prospecteur malchanceux, une petite concession dans le Klondike. Lorsqu’il arrive en Alaska, le pays est en proie à la fièvre de l’or. A peine débarqué, il se fait détrousser par trois gredins, Beauty Smith, Luke et Tinker. Cependant, Alex Larson et le vieux Skunker, deux amis de son père, acceptent qu’il se joigne à eux. Les deux hommes convoient jusqu’à son campement le corps d’un copain chercheur d’or.
Au cours du voyage, ils perdent leurs munitions dans un étang gelé et subissent les attaques répétées d’une horde de loups affamés. Skunker périt, dévoré. Une femelle de la meute, mi-chienne mi-louve, est mortellement blessée. L’orphelin qu’elle laisse est pris au piège par l’Indien Castor Gris, qui lui donne le nom de Croc-Blanc et le dresse à travailler.

Happy feet (2005), de George Miller

Avec un très bon casting (Marion Cotillard, Sophie Marceau, Elijah Wood…), une réalisation maîtrisée, de l’humour, des récompenses et un très bon accueil de la part du public et de la critique, Happy feet est un film d’animation incontournable.

Synopsis : Un manchot de l’Antarctique n’arrivera jamais à rien s’il ne sait pas chanter, et le pauvre Mumble est sans conteste le pire chanteur du monde. Son talent à lui, c’est… les claquettes, qu’il pratique en virtuose, avec une ardeur confondante.
Bien que sa maman, Norma Jean, trouve ce don « tout à fait charmant », son père, Memphis, juge que « ça ne fait vraiment pas pingouin ». Tous deux savent aussi que leur rejeton ne trouvera l’âme soeur que le jour où il saura pousser son « chant d’amour ».
Le hasard fait bien les choses : Gloria, la seule et unique amie de notre héros, est la meilleure chanteuse de la région. Mumble et elle sont copains depuis toujours, bien que cette gracieuse créature ait encore du mal à accepter son étrange « anomalie ».
Banni de la tribu, Mumble se lie avec les Amigos de Terre Adélie, un groupe latino exubérant, mené par Ramon…

Happy feet

Anastasia (1997), de Don Bluth, Gary Goldman

Sans s’attarder sur l’Histoire, Don Bluth et Gary Goldman ont choisi de conter à leur sauce l’histoire de la princesse Anastasia. Beaucoup d’humour et d’émotion, une bande son parfaite, un personnage principal féminin au caractère doux et difficile et une mise en scène travaillée donnent un résultat vraiment sympa, qui plaira surtout aux petites filles.

Synopsis : Saint-Pétersbourg, 1917. Comment l’impératrice Marie et sa petite fille Anastasia vont être sauvées du funeste sort, provoqué par la revolution, qui s’abat sur la famille impériale, par un jeune employé de cuisine : Dimitri. Mais le destin les sépare une nouvelle fois. Dix ans après la chute des Romanov, une rumeur persistante se propage : la fille cadette de l’empereur serait encore en vie…

Joyeux Noël (2005), de Christian Carion

Le sujet est assez bien traité et il faut reconnaître que des scénarios pareils ne courent pas les rues. Ceux qui apprécient les films de guerre (et même les autres) seront séduits par ce long-métrage de Carion (et il faut dire que pour un réalisateur de films de Noël il porte bien son nom, hein ? OK je sors).

Synopsis : Lorsque la guerre surgit au creux de l’été 1914, elle surprend et emporte dans son tourbillon des millions d’hommes. Nikolaus Sprink, prodigieux ténor à l’opéra de Berlin, va devoir renoncer à sa belle carrière et surtout à celle qu’il aime : Anna Sörensen, soprane et partenaire de chant.
Le prêtre anglican Palmer s’est porté volontaire pour suivre Jonathan, son jeune aide à l’église. Ils quittent leur Ecosse, l’un comme soldat, l’autre comme brancardier.
Le lieutenant Audebert a dû laisser sa femme enceinte et alitée pour aller combattre l’ennemi. Mais depuis, les Allemands occupent la petite ville du Nord où la jeune épouse a probablement accouché à présent.
Et puis arrive Noël, avec sa neige et son cortège de cadeaux des familles et des Etats majors. Mais la surprise ne viendra pas des colis généreux qui jonchent les tranchées françaises, écossaises et allemandes…

joyeux noel

L’Etrange Noël de M. Jack (1994), de Henry Selick

Ce film d’animation est visuellement abouti et possède un scénario original. La bande son est superbe et on apprécie la touche morbide à la Tim Burton. L’Etrange Noël de M. Jack a tout pour plaire et ne se démode pas.

Synopsis : Jack Skellington, roi des citrouilles et guide de Halloween-ville, s’ennuie : depuis des siècles, il en a assez de préparer la même fête de Halloween qui revient chaque année, et il rêve de changement. C’est alors qu’il a l’idée de s’emparer de la fête de Noël…

La Course au jouet (1996), de Brian Levant

De loin pas le meilleur film de Noël mais je l’ai tout de même ajouté à la liste. On ne sait jamais, peut-être que la consommation de masse et le jeu d’acteur pitoyable de Schwarzenegger plairont à quelqu’un !

Synopsis : Comme tous les enfants américains, et bientôt les autres, Jamie veut un Turbo Man pour Noël. Seulement son papa, homme d’affaires stressé, a oublié sa promesse. Il s’en souvient quelques heures avant la remise fatidique des cadeaux et part à la chasse au Turbo Man, qui n’est plus disponible dans aucun magasin. Une course contre le temps et d’autres acquéreurs du jouet s’engage.

Le Père Noël est une ordure (1982), de Jean-Marie Poiré

Impossible de passer à coté des premiers pas du groupe Marie-Anne Chazel – Josiane Balasko – Christian Clavier – Thierry Lhermitte et les autres. Film ou pièce de théâtre, Le Père Noël est une ordure reste culte au fil des années.

Synopsis : La permanence téléphonique parisienne SOS détresse-amitié est perturbée le soir de Noël par l’arrivée de personnages marginaux farfelus qui provoquent des catastrophes en chaîne.

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